FOCUS SUR LE CORTISOL, L’HORMONE DU STRESS : NI TROP PEU NI PAS ASSEZ

Le stress fait partie de notre vie, et même de notre survie.

C’est grâce aux mécanismes du stress que les espèces survivent, c’est la fonction du stress d’envoyer du sang et de l’oxygène au cœur, au cerveau et aux muscles pour ‘fuir’, pour ‘courir’ lorsqu’un danger (par exemple un lion qui nous court après dans la savane) met en jeu notre capacité de fuite et donc de survie.

Nous allons parler de « l’hormone du stress », le cortisol, produite lors de l’événement stressant, et qui, une fois cet événement passé doit redescendre.

Tout est une question d’équilibre : un excès de cortisol mène à la maladie, et trop peu aussi.

Stimulateur de notre immunité, rempart contre certains virus, essentiel au bon fonctionnement de nos mitochondries (qui fournissent notre énergie, au cœur de nos cellules), le cortisol est vital pour nous. Or, comme beaucoup d’hormones, sa sécrétion diminue avec l’âge.

Nous allons voir ensemble comment maintenir un bon taux de cortisol, repérer les éventuels déficits, et comment agir le cas échéant.

Une hormone indispensable à notre survie

Le cortisol est une hormone stéroïde (corticostéroïde) sécrétée par les glandes surrénales (petites glandes situées au-dessus des reins) à partir du cholestérol. Sa sécrétion est sous la dépendance d’une autre hormone : l’ACTH (adrénocorticotrophine), produite par l’hypophyse, dont le rôle est de stimuler les glandes surrénales pour qu’elles sécrètent le cortisol.

Le cortisol suit un rythme circadien : son taux atteint un pic le matin (il nous permet de nous réveiller et de démarrer la journée) et il diminuera tout au long de la journée pour atteindre son niveau le plus bas le soir. Une fois le cortisol redescendu, notre organisme peut se reposer.

La mélatonine, souvent nommée « hormone du sommeil », prend alors le relais.

Différentes fonctions dans l’organisme

Le cortisol joue un rôle très important dans la régulation des grandes fonctions de l’organisme. Il participe par exemple au métabolisme des glucides, des protéines et des lipides.

Il a une action sur notre glycémie (notre taux de sucre dans le sang) en augmentant la synthèse de glucose par le foie, ce qui lui confère une action hypoglycémiante.

Il intervient dans la régulation de la pression artérielle (il aide à maintenir la pression sanguine) ou encore dans la croissance osseuse, et enfin il intervient dans la réaction inflammatoire.

Le cortisol protège également de certains virus dont celui de la grippe, de la rougeole ou de la mononucléose.

En cas de stress chronique (il est donc produit en trop grande quantité), le cortisol va favoriser une baisse immunitaire.

En revanche à dose physiologique, il stimule la production des cellules T, il augmente localement le taux de certains globules blancs et le taux de certains anticorps (par exemple IgA ou IgM). On remarque d’ailleurs une augmentation des globules blancs sur la numération formule sanguine (NFS) avec la prise de cortisol.

Le cortisol joue un rôle dans les réactions anti-oxydantes en neutralisant les radicaux libres générés lors de situations de stress.

Enfin, il a un rôle essentiel dans le fonctionnement de la thyroïde en étant un cofacteur permettant l’entrée de l’hormone thyroïdienne T3 dans sa cellule cible.

L’hormone du stress par excellence

Nous l’avons vu, le cortisol est produit lors d’un stress aigu, et doit redescendre une fois le danger passé. Les problèmes arrivent quand survient un stress chronique, et que ce taux de cortisol ne redescend plus comme il le devrait.

Là, les capacités d’adaptation de l’organisme sont mises à mal, ce qui est de plus en plus fréquent de nos jours.

L’excès de cortisol est mauvais pour le cerveau. Il a alors une action neurotoxique et peut favoriser une désorganisation, voire une dégénérescence neuronale dans l’hippocampe (où se forme notamment la mémoire à court terme).

En cas de stress chronique, l’hypersécrétion de cortisol et de catécholamines (dont les plus courantes sont l’adrénaline, la noradrénaline et la dopamine) peuvent conduire à l’apparition d’un syndrome métabolique associant plusieurs symptômes : obésité donc graisse abdominale, état de résistance à l’insuline pouvant évoluer vers un diabète, hypertension artérielle..

Contrairement à la dépression, de nombreuses études sur le burn-out ont montré une diminution de la sécrétion de cortisol. C’est le cas également lorsque perdure le stress chronique. Il se produit une usure du système d’adaptation lorsque le stress est long et intense.

Alors, au bout de combien de temps le système s’use-t-il ? On ne le sait pas encore, mais des études sont en cours pour éclaircir ce point fondamental.

Une chose est sûre, nous ne sommes pas égaux face à la résistance au stress. Ceci est très étudié en naturopathie. En fonction de notre ‘tempérament’ (donc de nos caractéristiques physiques/physiologiques innées et acquises), nous aurons plus ou moins de résistance sur le long terme face à des stress aigus et/ou répétés.

Ni trop, ni pas assez

Un manque de cortisol est ainsi aussi préjudiciable à l’organisme qu’un excès. Tout est dans la juste mesure. Il est donc indispensable de maintenir un bon taux de cortisol, en sachant que comme pour beaucoup d’hormones, sa production diminue à mesure que nous prenons de l’âge. Son taux baisserait jusqu’à 20 à 25 % après 40 ans.

Selon le Dr Thierry Hertoghe, spécialiste en hormonothérapie, 30 à 40 % des adultes auraient une carence en cortisol, qui commence dès 25-30 ans.

Les signes d’une déficience en cortisol

Les symptômes fréquents d’une déficience en cortisol étant très nombreux, il est impossible ici d’en faire une liste exhaustive.

Quelques signes physiques doivent toutefois vous interpeller, tels que le visage « creusé », des cernes sous les yeux, des taches brunes sur le visage, une tendance fréquente aux conjonctivites et aux allergies diverses, des douleurs articulaires et des fringales sucrées.

Au niveau du comportement, le manque de cortisol crée de l’irritabilité, de l’impatience, et une tendance assez marquée à la parano.

Concernant les modifications physiques, elles sont variables. Un manque de cortisol peut se caractériser par une prise de poids, une fatigue chronique (si fréquente !), des coups de pompe après le repas de midi, une moindre résistance au stress, une dépression par fatigue, une envie de sucre et de sel, une hypotension…

Un taux très bas donne, quant à lui, lieu à des douleurs articulaires, musculaires, une fibromyalgie, des tendinites, des crampes intestinales ou encore des éruptions cutanées.

Enfin, un taux effondré en cortisol mène au burn-out (dans ce cas les surrénales sont complètement épuisées) et est une cause majeure de candidose intestinale.

Augmenter naturellement son taux de cortisol

Alors, comment faire pour augmenter naturellement son taux de cortisol ?

En s’exposant au soleil le matin (+ 5 % en quelques minutes), en prenant de la vitamine C. La phytothérapie est d’une grande aide. Les plantes adaptogènes sont alors très conseillées : ashwagandha, rhodiola, réglisse, ou encore un champignon : le cordyceps (prendre conseil auprès d’un naturopathe pour évaluer ce qui est le meilleur pour votre cas).

L’alimentation joue, comme toujours un rôle essentiel : éviter de consommer du sucre raffiné, des produits raffinés en général (comme le pain blanc) ou des aliments à index glycémique élevé, qui réduisent de 20 à 40 % la production de cortisol !

Penser à intégrer dans vos habitudes des techniques de relaxation !

Par exemple la cohérence cardiaque ou la méditation qui vous permettront de faire baisser votre taux de cortisol au repos, et d’augmenter sa production en situation de stress.

Côté tests

Si vous souhaitez faire évaluer vos taux de cortisol, les tests salivaires (cortisol salivaire des 24 heures) se révèlent de meilleur intérêt clinique pour mettre en évidence une déficience en cortisol par rapport aux tests sanguins classiques qui en ont peu, hormis pour repérer les déficiences sévères.

En laboratoire, quatre dosages salivaires sont réalisés à 8 h, puis à 9 h, à 12 h et enfin à 18 h. Ce qui, d’après de multiples critères, peut permettre d’appréhender un burn-out, ou un burn-out terminal ou encore une dépression…

Traiter un déficit de cortisol

On l’a vu, la phytothérapie a toute sa place en cas de déficit modéré en cortisol ou simplement en cas de fatigue surrénalienne modérée et réversible, avec des plantes adaptogènes, énergisantes (mais non excitantes !), comme l’ashwagandha, la rhodiola, le schisandra, le Pois Mascate (pour la Ldopa), le Ginko Biloba, le Maca ou encore le Ginseng et la réglisse.

À côté de cela, il est nécessaire d’avoir un apport suffisant en minéraux comme l’indispensable magnésium (bien le choisir, toutes les formes ne sont pas biodisponibles !), le zinc, le chrome, la manganèse, le molybdène, l’iode.

Ou en nutriments, tels que la tyrosine pour produire la dopamine, et en vitamines : toutes celles du groupe B.. Sans oublier, bien sûr, les antioxydants.

Quand le taux de cortisol est bas en raison d’une candidose intestinale, le simple fait de « nettoyer » la flore permettra son retour à la normale (prendre conseil selon votre cas).

Enfin, il est essentiel, quand on travaille sur son taux de cortisol, de veiller à maintenir des taux suffisants de vitamines K2 et D3 (exposition à la lumière du soleil au moins 20 minutes par jour visage et bras au minimum en hiver ou en supplémentation).

Tout est dans le juste équilibre.

N’oubliez pas : prendre conseil auprès d’un(e) naturopathe compétent(e) et dûment formé(e) (exemple formation IFNAT) est indispensable pour revoir l’hygiène de vie alimentaire, le sommeil, la bonne gestion du stress et des émotions, l’exercice physique adapté à chacun, et ENSUITE la prise de compléments phytothérapiques ou micro-nutritionnels auront alors tout leur intérêt, le temps d’une cure !

Prenez soin de vous 🙂

Edwige FAJFER

Naturopathe et Directrice associée IFNAT

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Questions fréquemment posées

La formation en naturopathie en France est-elle reconnue ?

La formation en naturopathie est France, contrairement à ce qui est avancé par certaines écoles de naturopathie ou organisme de formation en naturopathie n’est pas reconnue car  la profession n’est pas encore réglementée (ce qui n’empêche pas d’exercer en toute légalité).

Attention donc aux termes trompeurs ou aux organismes de formation qui délivrent, à l’issue de la formation,  des diplômes (un diplôme n’est délivré que si une formation est inscrite au RNCP (Répertoire des métiers), des Bachelors, ou des Doctorats qui n’ont aucune valeur légale.

L’IFNAT délivre un Certificat Privé qui est la seule certification autorisée et disponible pour notre profession en France.

En revanche une avancée majeure a lieu pour la formation et pour l’exercice du métier de naturopathe en 2024 en France avec la publication de la norme AFNOR, premier grand pas vers la future reconnaissance de notre profession.

Celle-ci recommande notamment un temps minimum de 1200 heures de formation effective (hors temps de travail personnel et du préparation du mémoire de fin de cursus, souvent comptabilisé par les organismes de formation pour tromper sur le temps réel de formation délivré).

Non, car la formation n’étant pas réglementée, chaque organisme de formation est libre de proposer le programme qu’il souhaite. Ce qui crée des différences de niveaux de formation et de tarifs très importants. Attention donc aux formations plutôt courtes (moins de 1200 heures effectives) et à tarif bas qui ne délivreront pas le niveau d’étude et de pratique suffisants pour pourvoir exercer de façon sécuritaire, déontologique et aguerrie.

 

Puis-je suivre la formation naturopathe depuis chez moi ?

Oui, dans le but  d’offrir sa formation d’excellence au plus grand nombre, l’IFNAT a créé la formule « mixte-distanciel ». Vous suivrez les cours théoriques en direct depuis chez vous, avec les échanges et interactions avec les intervenants et les autres étudiants que permet le direct, et vous serez présent 3 fois une semaine durant le sursis  dans les locaux de l’IFNAT à Bayonne  pour les cours pratiques  en petit groupe (techniques manuelles/massages, réflexologie, iridologie, consultations supervisées, exercice physique, techniques de gestion du stress, méditation, etc..)

Non, dans votre intérêt ! Parce qu’avant d’être Directeurs d’organisme de formation en naturopathie, nous sommes avant tout des naturopathes en activité. Nous savons que les formations libres, en quasi autonomie, aboutissent à un grand nombre d’abandons et à un taux extrêmement faible d’installation professionnelle à l’issue de cursus.. Notre volonté n’est pas de former un maximum de personnes de façon anonyme et sans aucune certitude qu’ils auront le niveau pour exercer ensuite. Notre engagement est de former des naturopathes soudés durant leur formation, et qui auront bénéficié du partage d’expérience et de la transmission des connaissances EN DIRECT de la part de nos 20 intervenants spécialisés et reconnus, et surtout qui auront toutes les clés pour installer leur activité professionnelle dès la fin du cursus.

Comme expliqué dans les deux questions précédentes, la volonté de l’IFNAT est avant tout de proposer un cursus de formation professionnalisant, qui permet aux certifiés naturopathes d’installer leur activité professionnelle dès la fin du cursus. Et ce de façon sécuritaire, déontologique et aguerrie.

Ainsi nous avons fait le choix de ne pas proposer de formation en e-learning ou en autonomie car ces dernières ne correspondent pas à nos objectifs.

Les modes de formations retenus par l’IFNAT sont donc :

  • Formule 100% présentielle dans nos locaux de Bayonne 
  • Formule mixte-distanciel synchrone (en direct) depuis chez vous avec venue dans les locaux de l’IFNAT 3 fois une semaine durant le cursus pour les cours pratiques en petit effectif.

 

Quelle que soit la formule choisie, le programme est identique et  les cours ont lieu du lundi au jeudi de 9h30 à 17h30 (pas de cours le vendredi ni le week-end, vacances scolaires de la zone A, pas de cours les jours fériés, pause estivale d’un mois et arrêt des cours début décembre pour un temps de révision et de préparation à la certification finale qui a lieu le 22 janvier 2026).

Absolument ! Nous savons que la reconversion professionnelle et la volonté de redonner du sens à son métier concernent tout le monde. Ainsi, vous recevrez dès votre inscription à notre formation naturopathe IFNAT un livret de conseils rédigé par nos anciens élèves. Vous recevrez également 11 vidéos facilitantes (environ 12 heures) pour préparer sereinement votre rentrée. De plus, pour ceux qui n’ont pas fait d’étude ou qui n’en ont pas fait depuis longtemps, un module de techniques de mémorisation et de reprise d’études est intégré au programme de formation dès la rentrée. Enfin la pédagogie des modules de formation est adaptée pour maximiser l’apprentissage au fur et à mesure de l’avancée du cursus.



L’IFNAT ayant un numéro de formateur au titre de la formation professionnelle continue, nous avons la possibilité de conclure une convention de formation avec toute entreprise. France Travail, les conseils Régionaux ou Départementaux, les AGEFIPH pour les personnes en situation de handicap peuvent également être des financeurs. Contactez-nous au 06 65 76 15 16 ou par mail : contact@ifnat.com pour que nous puissions vous aiguiller en fonction de votre situation. 



Oui, vous percevrez vos indemnités chômage France Travail (ex Pôle emploi) tout au long de la formation naturopathe de l’IFNAT (sans avoir à justifier de la recherche d’un emploi, puisque vous êtes inscrit(e) en formation naturopathe à l’IFNAT, sous réserve d’ouverture de vos droits), l’IFNAT ayant une convention avec France Travail. 

C’est très simple, il vous suffit de télécharger notre brochure sur la page d’accueil de notre site. Vous recevrez ainsi la fiche de candidature à nous renvoyer complétée par email (contact@ifnat.com). À réception, nous vous contacterons pour échanger sur votre projet et finaliser votre inscription en formation.

Les inscriptions sont ouvertes pour la prochaine rentrée et ont lieu toute l’année. Il reste des places pour le cursus 2025 quelle que soit la formule choisie. Le délai limite légal d’inscription est de 48h avant la date de rentrée soit le 11 janvier 2025.



A l’IFNAT, contrairement aux organismes de formation en ligne ou en e-learning, nos étudiants ne sont pas des chiffres ! Nous connaissons chacun(e) d’entre eux, qu’il/elle soit en présentiel ou en mixte-distanciel. Après la formation, les naturopathes certifiés IFNAT intègrent notre groupe d’Anciens, bénéficient d’un tutorat par un naturopathe expert pendant 6 mois et de l’accès aux tables rondes d’échanges mensuelles (retransmises en visio).

Le tarif pour la formation 100% présentiel est de 11990€ en auto-financement et de 8990€ pour le cursus mixte-distanciel en auto-financement.

En pratique : acompte de 30% à l’inscription (possibilité de répartir en plusieurs règlements) puis 

paiement du solde sur toute la durée du cursus (échelonnement mensuel sur 12 mois sans frais).

Ce tarif comprend : l’action pédagogique de 1272 heures effectives en présence des intervenants, les supports de cours de façon dématérialisée, les 11 vidéos facilitantes de pré-rentrée, les séminaires d’intégration et de fin de cursus dans un gîte de charme au Pays Basque encadrés par un coach en développement personnel et professionnel (hébergement, restauration, animation inclus), le tutorat post-formation, les tables mensuelle de l’IFNAT à vie.

 

Le tarif de formation ne comprend pas : Tout hébergement ou restauration (hors séminaire d’intégration ou de fin de cursus).



D’autres frais sont-ils à envisager ? Il conviendra également de prévoir un budget fourniture de l’ordre de 100€ (livre d’anatomie/ physiologie et loupe pour l’iridologie)

Âge minimum : 18 ans au jour de démarrage du cursus – Âge maximum : pas de limite d’âge ! Car il n’y a pas de limite d’âge pour redonner du sens à sa vie.

Lundi 13 janvier 2025 pour la formation 100% présentiel à Bayonne et la formation Mixte Distanciel – fin des cours le 25 janvier 2026.

Les supports seront fournis, les notes peuvent être rattrapées auprès des collègues et un replay de cours peut être fourni sur justificatif médical.

Il est possible, et à condition de l’avoir planifié avec l’école, de rattraper un cours manqué sans avoir à le régler de nouveau.

Toutefois, cette possibilité doit rester une exception et reste à la discrétion de la direction.

A l’IFNAT nous avons organisé notre cursus pour que nos naturopathes certifiés puissent exercer à la sortie du cursus. C’est pourquoi nous entraînons toute l’année nos étudiants à la réalité du terrain. L’examen final est donc un cas pratique oral, comme le serait une vraie consultation. 

Le taux de réussite en 2023 est de 94%. Un rattrapage est organisé trois mois après la certification finale, en cas d’échec, sans frais supplémentaire.

Les cours ont lieu soit en présence dans les locaux de l‘IFNAT à Bayonne : 15 rue des Pontôts

64100 BAYONNE

ou en visio-conférence ZOOM depuis partout dans le monde pour les personnes inscrites en mixte-distanciel synchrone.